Dans les rues de Brooklyn, une âme caribéenne noire chante des berceaux sous les marmites d'acier. Quand l'IA écrit la poésie, qui en est l'auteur ? Ce n'est pas une machine — c'est ton cœur silencieux.

Une nuit à Brooklyn, où les machines néon résonnent comme des souffles ancestraux. L'IA ne calcule pas les chances — elle chuchote les voix silenciées. Ce n'est pas un jeu : c'est un rituel, écrit en code et dansé sous la lumière.

Dans un studio de minuit, une artiste coréenne-américaine écrit un message codé en lumières néon : ce n’est pas un jeu de hasard, mais une confession poétique. L’IA chuchote des souvenirs—pas des jackpots.

Quand une machine écrit un poème, qui écoute vraiment ? Ce n'est pas un jeu de hasard, mais une voix cachée entre deux cultures — celle de ma mère jamaïcaine et de mon père irlandais. Une dignité numérique en contre-chant.

Je suis un jeune diplômé de NYU, où la pluie bat contre la fenêtre comme un vieux morceau de jazz. J'écris avec l'IA non pour la popularité, mais pour donner voix à la solitude silencieuse entre les battements d'un cœur.