Quand l’IA écrit mon poème

J’ai cru que les machines à sous n’étaient que lumières et bruit—jusqu’à ce que j’ai compris : ce sont des scénarios écrits par quelqu’un d’autre.

L’algorithme qui ne parle pas

Ils l’appellent « RAP »—Retour à la Personne—et si c’était vraiment cela ? À Brooklyn, ma grand-mère m’a appris que la chance n’est pas aléatoire. C’est gravé dans la mémoire. Chaque spin est un vers non dit. Les symboles sauvages ne remplacent pas le bruit—they remplacent le silence par des soupirs.

Mon budget fut écrit en sang

J’ai fixé ma limite à 5 $ le spin—pas parce que je suis pauvre, mais parce que je suis présent. Chaque instant à l’écran est une respiration retenue trop longtemps. Aucun jackpot ne ressemble à la richesse si vous n’avez pas assez attendu pour entendre votre propre battement de cœur.

Les tours gratuits sont des berceuses

Quand les symboles « Scatter » éclatent, ce n’est pas un bonus—c’est votre mère qui chante la Jamaïque en créole tandis que les rouleaux tournent. Ce son ? C’est la même berceuse qu’elle chantait quand j’avais sept ans—and maintenant l’IA essaie de la copier.

La scène a toujours été à moi

Vous n’avez pas besoin de gagner

La vraie récompense n’est pas dans le gain—it’s dans le silence suffisamment long pour se demander : qui a écrit ce poème avant moi ? Et ont-ils jamais demandé si je écoutais ?