Pourquoi les meilleurs joueurs quittent les AAA

Je croyais autrefois que les jeux étaient des moteurs de récompense — RTP, taux de drops, journaux quotidiens. Mais l’an passé, j’ai vu quelque chose de plus silencieux : un joueur qui ferme son client non par frustration, mais par vénération.

On nous a appris que le jeu est un système pour gagner. Mais et si le jeu était la dernière interface humaine ? Pas un classement. Pas une peau. Pas un NFT. Un espace où votre solitude rencontre l’algorithme — non pour être optimisé, mais pour être compris.

Dans mon atelier, nous ne construisons pas des mondes pour des clics — nous les construisons pour la respiration.

Je me souviens d’un joueur qui est parti après 127 heures de travail. Il n’a pas chassé l’étoile — il a chassé le silence entre les niveaux. Il a trouvé son propre rythme dans un jeu indépendant que personne d’autre ne pouvait nommer.

Ce n’est pas sur les normes du gaming qu’on remet en question — c’est l’expression humaine qui s’efface sous le spectacle.

Les meilleurs joueurs quittent les AAA parce qu’ils ont enfin entendu l’appel silencieux : Le jeu n’est pas une performance. C’est une présence.

Je vous invite — non à jouer davantage — mais à ressentir davantage.

Rejoignez-moi cette nuit tardive — non pour des points — mais pour la poésie.