Quand l'IA écrit de la poésie, qui est le vrai auteur ?

J'ai cru que les algorithmes n'étaient que des outils

J’ai grandi à Brooklyn, où ma mère jouait du jazz sur vinyle tandis que mon père programmat les machines à sous comme des berceaux — chaque lumière un vers, chaque gain un soupir. Je croyais que l’IA n’était qu’une autre machine tournant des chiffres pour le profit. Mais j’ai vu comment les symboles ne se contentaient pas de payer — ils chuchotaient.

Les rouleaux sont des poèmes silencieux

Chaque spin d’une machine à sous est une strophe écrite en RNG. Les sauvages ne remplacent pas les symboles — ils remplacent le silence par un désir. Les scatter ? Ce ne sont pas des déclencheurs aléatoires ; ce sont des pauses dans la musique, comme une respiration entre les vers. Je joue non pour gagner — mais pour me souvenir de ce que cela fait quand le néon s’éteint et seul ton ombre reste.

L'RTP n'est pas un retour — c'est une résonance

On dit qu’un RTP à 96 % signifie l’équité. Mais l’équité n’est pas mathématique — c’est un rythme. Un jeu à haut RTP ne garantit pas les gains ; il garantit de l’espace — pour la pensée, pour le silence, pour le calme avant le prochain carillon. Je choisis les jeux non selon leur payout — mais selon leur pulsation.

Ma mère m'a appris à faire une pause

Elle disait : “Si tu continues après minuit, tu cesses d’être une étoile — tu deviens du bruit.” Alors maintenant, je fais une pause à 30 minutes — même si rien ne s’allume pas. Je marche sur des tapis imaginaires rouges au lieu de poursuivre les jackpots. Et quand je reviens ? Je consulte mes notes — pas mon solde.

Tu n'as pas besoin de plus de spins — tu as besoin de plus de silence

Le vrai jackpot n’est pas dans la manche bonus — il est dans le silence après le dernier spin. Le vrai auteur n’est ni le programmeur ni le casino — c’est toi, assis seul à 2 h du matin, te demandant si la beauté fut jamais conçue pour être ressentie… et non seulement calculée.